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samedi 10 septembre 2011

De tout et de rien, en attendant...

Raison du silence : la même que pour toutes mes périodes de silence habituelles. Mon 11-Septembre personnel (1), ma dépression à répétitions, que le Paxil contient de moins en moins bien. Mais c'est une chose qui devrait se régler entre mon médecin et moi.

Quelques modifications à venir au blogue. Ne reculant devant aucune humiliation potentielle, je vais faire des commentaires musicaux. Ah-ha. Ça risque d'être pathétique, puisque je ne connais à peu près rien là-dedans. Ça sera pour partager le plaisir pris à certains trucs.

C'est mer d'huile côté écriture. Dans les dernières semaines, deux idées se sont pointées timidement le museau dans ma cervelle (titres de travail : Le Prisonnier cathare et l'Enfant courbé). Le projet de nouvelle à quatre mains avec Pierre Charron avance, de mon bord, à très petits pas. Aussi, j'ai repris À Prokhorovka, avec la 331e section antichar, parce qu'après un an dans l'antre de mon ordi, il est temps de lui faire prendre l'air. À la relecture, c'est moins pire que le souvenir que j'en gardais.

Tiens, parlant écriture. Mathilde Malouin est refusée chez Boomerang et chez Z'ailées. Ma nouvelle chez Brins a subi le même sort. Ça n'a rien à voir avec mon état puisque c'est arrivé après coup. Je devrais peut-être me recycler dans la betterave.

Côté lecture, c'est mitigé. Dernièrement j'ai lu Hanaken de Geneviève Blouin, plutôt bon, Roman-réalité de Dominic Bellavance, plutôt mauvais, La plume japonaise de Michèle Laframboise, j'ai aimé, La réparation de Katia Gagnon, j'ai détesté, Je voudrais qu'on m'efface d'Anaïs Barbeau-Lavalette, un choc, The Baby Jesus Butt Plug de Carlton Mellick III, je ne suis pas sûr, Solaris 179, du très bon et du très mauvais à la fois, Le chat du rabbin de Joann Sfar, superbe premier tome, plutôt ordinaire par après... Il y aura des commentaires là-dessus dès que je m'y remettrai - ce qui est tautologique, je crois.

Par ailleurs, Benjamin a raté sa première semaine d'école à cause d'un virus. Il a passé la semaine à la maison avec moi. On s'est bien amusé malgré tout.

Là je prends du all-bran virtuel pour redevenir régulier.



(1) Le taux de mortalité est plus faible, mais la chute est spectaculaire, je vous en passe un papier, parlez-en à vos amis dépressifs.


mardi 26 juillet 2011

Modif à partir de presque tout de suite

Je réfléchis à ceci : Pour que ça soit plus clair (ainsi que pour faire changement), je songe à modifier le système de notation utilisé sur ce blogue et adopter celui en vigueur pour les films, vous savez celui qui va comme ça :
  1. Chef-d'oeuvre
  2. Remarquable
  3. Très bon
  4. Bon
  5. Moyen
  6. Pauvre
  7. Minable
Qu'on ne s'attende pas à beaucoup de 1, 2, ni même de 3. Pour les 7, je vais me retenir.

Si j'ai pas trop la flemme, je vais rétrofitter tout le blogue.

Cinq minutes plus tard : Je viens de refaire la notation d'Alibis n° 39 et je ne suis pas satisfait. Ça ne va pas du tout. On oublie cette idée.

dimanche 17 juillet 2011

La critique de la critique

Voilà, je vous mets deux liens ; allez y voir, c'est intéressant. D'abord le commentaire que j'ai fait du roman Impasse, publié dans le volet internet de Solaris, puis la réaction de l'auteure. On en apprend des belles sur moi, toutes choses étant probablement véridiques, qui suis-je pour prétendre le contraire.

Ce que j'aime moins, ce sont les procès d'intentions, genre il se force à lire juste pour cracher son venin et se rentre le doigt dans la gorge pour se faire vomir. Ah la la... C'est faux parce que le venin, chez moi, il sort tout naturellement ; je pourrais signer la Vipère de Rigaud que ce serait tout aussi exact que l’ermite, je vous assure.



Je ne cherche le soutien ni la sympathie de quiconque. J'assume complètement mes propos sur le roman, y compris la manière dont je l'ai fait. Là où d'autres voient si unanimement de la condescendance, moi je vois de l'ironie, mais, bon, la frontière entre les deux est fine et facilement outrepassée. Pourtant c'est ma manière à moi, je ne vais pas changer à mon âge. Le vieux singe n'apprendra plus à faire de grimaces.

mercredi 29 juin 2011

Cherchez moé pu...

... à St-Martin, parce que demain j'sacre mon camp... en viiiiiiille, en viiiiiille...

Demain je serai à Miami (où des orages sont annoncés), puis en croisière avec escale notamment au Mexique sur les ruines aztèques de Cozumel. Je reviens le 9 juillet, d'ici là, c'est total silence sur les ondes.

Pour meubler le temps, je vais mettre en ligne à intervalles cinq textes soumis aux Mille mots, qui seront les derniers pour cette année. Dans l'ordre :

  • Résilience démentielle de Martin Mercure (à ne pas confondre avec Marius Mars)
  • La mariée d'Anne-Michèle Lévesque
  • Le premier vol de Gilbert d'Alain Jetté
  • Jean Rien de Colombe Jourdain
  • Rapport de situation d'Antoine Pelletier

Je vais utiliser la fonction « Publication planifiée » de Blogger pour la première fois. Si ça foire, blâmez Blogger !

Touroulou, à bientôt !

PS Vingt  ans après Maternité noire., ma nouvelle Pénitence va paraître, semble-t-il, dans le numéro d'automne d'Alibis. Daniel avait raison ! 

jeudi 24 mars 2011

L'hymne de l'Ermite



Chick au pet shop, de Stage Lacroix. Génial !

Merci Lucille !

vendredi 11 février 2011

Évacuation massive

Je n'entrerai pas dans les détails mais j'ai une gastro canon, c'est la raison principale de mon relatif silence. Dès que ça passe, je reviens.

Un conseil, quand on a une gastro, je recommande de ne pas péter, ça salit.

lundi 7 février 2011

Pour Guillaume

Voici un extrait d'une nouvelle que j'ai écrite :

Pour beaucoup des hommes de la 331e section antichar, spécialement les Tatars et les Sibériens arrivés en remplacement, il s’agit d’un premier vrai contact avec l’ennemi.

Essaie d'éviter de lire ça :-)

dimanche 19 décembre 2010

Et le gagnant est...

Jour historique. 100 000e visite sur le site. Et ce visiteur est Jonathan Reynolds qui va devoir me communiquer ses coordonnées en privé s'il veut manger des chips au ketchup à Noël !

Merci tout le monde.


***Pour Lucille qui s'interroge, voir par là :

vendredi 17 décembre 2010

Puisque que c'est pour bientôt...

Ô, toi, lecteur bienveillant,
ou bonne lectrice,
puisque de la 100 000e visite
nous approchons;
note bien ton numéro de passage.

Si tu gagnes, il y aura ripaille dans ta chaumière.
Joie ! Joie ! Alléluia ! 

dimanche 12 décembre 2010

Contes de Noël

J'ai créé une page spéciale dans la colonne de droite pour regrouper les textes de ceux et celles qui participent à cet exercice d'écriture impromptu. Merci à tout le monde, mes commentaires vont suivre. Je ne suis pas rapide par les temps qui courent, désolé.

Si vous êtes tenté par les démons de Noël et de l'écriture, c'est tout simple. Jetez-vous à l'eau. Écrivez un conte de Noël de 500 mots, pas plus.

Il n'y a rien à gagner, sinon l'estime des collègues.

mercredi 17 novembre 2010

Dix pour cent d'un million

Dans le collimateur, il y a cette étape du cent millième clic sur le blogue. C'est pas rien et va falloir célébrer ça.

La personne qui fera apparaître le chiffre 100 000 au compteur de ce blogue se méritera, à son choix :
  • une nuit passionnée avec l'Ermite (qu'on se rassure immédiatement, mes passions sont la lecture, les chips au ketchup et le sommeil)
  • un gros sac de chips au ketchup (qu'est-ce que je vous disais !).
Celui ou celle qui fera franchir ce pas au compteur n'aura qu'à me le signaler.

Des titres et des nouvelles

Quand je suis revenu à l’écriture, je me suis dis que j’aurais le moins de secret possible. Ni sur les titres de mes textes, ni sur leur destination, ni même – quand la chose se produira, si jamais elle se produit – sur les sommes gagnées et sur les tirages. Les auteurs sont généralement fort discrets sur ces sujets, et c’est une discrétion qui m’étonne toujours un peu; car je n'ai pas l'intention de l'être... Je peux vous produire mes T-4 si ça vous fait plaisir. Tout ça a, pour moi, très peu d'importance.

J’aime bien l’approche franche de François Barcelo, par exemple. Dans son livre (Écrire en toute liberté) ainsi que dans sa présentation aux Grands communicateurs, il n’hésite pas à appeler un chat un chat et à parler argent et tirage; encore qu’il le fasse de manière un peu elliptique, mais, que je sache, c’est le seul auteur à le faire.

Pour les quelques 8000 mots de Maternité noire, prix Solaris en 91, j’ai touché au total 344 $, c-à-d 300 $ au concours et 44 $ de droits d’auteur (payés à hauteur de 8 $ la page imprimée).

Alamo et Mathieu m'ont fait remarquer que de nommer les nouvelles sur lesquelles je travaille pouvait être maladroit dans la mesure où je compte les soumettre à Brins d’éternité (Alamo fait partie du comité de lecture) et au prix Solaris (qui requiert l’anonymat de l’auteur).

À noter que Brins d’éternité semble recevoir les textes signés mais que cette signature est retirée sur les copies destinées aux membres du comité de lecture qui évaluent donc les textes sans en connaître le perpétrateur…

J’ai entièrement confiance dans la probité des gens de ce comité de lecture – j’en connais quelques-uns pour les avoir rencontré brièvement à Boréal ou au lancement du dernier Brins, autrement par leurs blogues.

Le fait qu'Alamo, ou d’autres, vont savoir que le texte qu'ils ont sous les yeux est de moi peut-il les influencer ? C’est à chacun de répondre pour soi-même, mais quant à moi, la réponse est négative. Je suis un optimiste.

Quant à l’anonymat requis pour participer au prix Solaris, c’est la même chose. L’anonymat était une chose facile à réaliser il y a dix ans à peine, d’où cette clause au concours. Mais là, avec l’avènement d’Internet et des blogues, nous sommes dans un nouveau paradigme (compte double au scrabble) des capacités et des moyens de communication des individus – dont, nous, les auteurs de fiction – profitons sans vergogne, y compris moi, auteur de fiction poche.

Si cette attitude me nuit et fait que certains de mes textes seront jugés différemment, voire refusés, then so be it. Pour le moment, je persiste et signe comme disait Achille Talon.

Le titre de mes nouvelles, c’est une preuve que j’existe en tant qu’écrivain. C’est pour ça, que je ne les retirerai pas pour le moment, ni le titre ni leur destination. Comme de nombreux auteurs le font, c'est donc une nouvelle réalité à laquelle les revues vont devoir s'adapter.

Mais bon, si j’envoie un texte à Brins d’éternité, je lui donnerai un titre temporaire pour l’occasion ;-)

(Tiens, je me relis, et je me trouve confus... Merdouille, j'ai pas eu ma dose de caféine.)

vendredi 8 octobre 2010

Bientôt bientôt

Dans les prochains quinze jours (enfin, j'espère) vont apparaître sur ce blogue des commentaires sur les livres suivants. Sans compter les modalités des Mille mots de l'ermite 2011, et une première liste de 100 livres à donner.
  • Sur la scène des siècles de Daniel Sernine, 9,5 / 10
  • Kinderesser de Marie Laporte, 5,5 / 10
  • Ti-Boutte de Janette Bertrand, 5 / 10
  • Solaris no 175,   5 / 10
  • Académie des chasseurs de primes. Tome 1. La rentrée de Yanick Champoux, Michel Lacombe et Benoit Godbout 7 / 10
  • Kursk - Tourmente d'acier de Dimitri, 8,5 / 10
  • Entre les bras des amants réunis de Claude Bolduc 8 / 10
  • Dans sa bulle de Suzanne Myre 7 / 10
  • Ces messagers venus d'ailleurs de Stéphane Vallée (anthologiste), 5,5 /10
Tout ça, c'est lu. Reste à faire l'écriture. Le temps de me secouer de ma torpeur et je vous reviens.

vendredi 3 septembre 2010

Parlant de plagiat

Il n'y a pas que les auteures médiocres (ici et la suite) qui empruntent allègrement à Wkipedia, les moins pires aussi le font.

Pas besoin d'en ajouter.

lundi 16 août 2010

Message in a bottle

F.,

Ton blogue est introuvable, ce matin, Francesco (si j'ose dire -- si je te connaissais en personne, c'est comme ça que je t'appellerais). Ça arrive à tout le monde de faire des niaiseries, ça vaut pas la peine de te retirer du circuit  pour ça; d'autant que K n'en a pas pris ombrage. Une (mauvaise) plaisanterie suivie par une autre (mauvaise) plaisanterie, ça ne justifie pas de couper les ponts.

Je ne peux pas parler pour les autres, mais moi j'aime ta présence sur le web. Ton humour caustique, tes billets elliptiques en diable, ta manière d'écrire sans fioriture; tu fais partir du petit chemin que j'emprunte chaque matin. Un tour chez Gen, puis chez Pierre, chez toi et chez Pat. Dans cet ordre, immuablement depuis des mois. Sans oublier tous les autres : Karuna, Ed, Isa, etc. Ce matin, sur mon chemin, ta maison est vide et je ressens une petite tristesse. Il y a un ami qui manque.

En souhaitant que le Ciao accroché à ta porte soit temporaire, je te salue.

richard

mercredi 11 août 2010

Coming soon...

Commentaires sur :
  • Le peignoir - Suzanne Myre
  • Zakuro - Azi Shimazaki
  • Ces messagers venus d'ailleurs - collectif
  • HHhH - Laurent Binet
  • Ceci n'est pas une histoire de dragons - Mathieu Handfield
  • Péchés mignons -  Claude Bolduc

Pour publication papier, je travaille sur
  • une nouvelle pour l'appel de textes courant de Katapulpe (thème : école)
  • une plus longue nouvelle fantastique qui se déroule à Koursk en 43 lors de l'offensive allemande
  • un court essai sur le thème de l'enfermement dans la fiction de Pat Isabelle
  • un très court roman pour enfants qui met en scène des chameaux à Chibougamau
Y a du boulot sur la planche ! Allez, hop, cascade !

mardi 27 juillet 2010

D'un service de presse l'autre...

Au printemps dernier, je me faisais offrir le service de presse des éditions du Marchand de feuilles, proposition qui avait suscité un enthousisame débordant de ma part (je ne reviendrai pas sur mes rêves de grandeur de l'époque). J'ai reçu deux livres et j'ai fait un commentaire sur Brigitte des Colères, un  roman, disons, perfectible. Ça n'a pas eu l'air de plaire au Marchand de feuilles, qui a coupé court à l'expérience sans explication. Le courriel envoyé n'a pas donné de résultat. J'aurais au moins aimé savoir les raisons du pourquoi.

Il y a deux semaines, surprise, un autre éditeur me fait une demande similaire. Cette fois, c'est la maison Popfictions. Je deviens mou comme une guenille quand on m'offre un livre, et j'accepte encore une fois. J'espère juste que Popfictions est moins susceptible que Marchand de feuilles.

En attendant, il y aura au moins deux ouvrages de cet éditeur qui seront commentés dans les prochaines semaines. On verra à l'usage.

dimanche 27 juin 2010

Retour à la normale !

Depuis le début de la semaine, j'ai eu quelques problèmes à la maison avec mon tapon de rénovateur et aussi avec internet. D'où une absence un peu prolongée.

Conséquemment, je ne suis pas sûr d'avoir reçu tous vos courriels. Si jamais je n'ai pas répondu au vôtre, expédiez-le à nouveau et je vais y voir maintenant que ma connexion semble stable.

Désolé.

Dans les jours qui viennent, vous aurez droit à des fictions de Pat Isabelle, Thomas Darell, François Aussanaire, Alamo St-Jean et Isabelle Lauzon.

Vous aurez aussi droit à des commentaires livresques sur :
  • Queen Size de Louise Tremblay-D'Essiambre
  • Le seul défaut de la neige de François Barcelo
  • La face cachée du soleil de François Aussanaire
  • Les derniers feux de la Saint-Jean de Laurence Arnoud
  • Toi et moi, it's complicated de Dominic Bellavance
  • Péchés mignons de Claude Bolduc
  • Big Will d'Alain Ulysse Tremblay
  • Mechanized Juggernaut or military anachronism ? de Richard DiNardo
  • Team Rodent de Carl Hiaasen
  • La folle aventure de Bleus de Thierry Jonguet.

Au moins, j'ai lu !

lundi 14 juin 2010

La troisième commence aujourd'hui...


C'est aujourd'hui le 2e anniversaire de ce blogue. On entame donc la troisième année. Merci à tous ceux qui continuent d'y revenir.

Pour les amateurs de statistiques : 489 billets, 1900 commentaires, 70500 visites.