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lundi 2 janvier 2012

2012

Puisque nous avons les deux pieds dedans. je vous souhaite une excellente année 2012 et qu'au moins un de vos vœux se réalise (on garde les autres pour le futur).

Mes résolutions sont :
  • perdre du poids (20 gr pour l'année, rien de moins)
  • me remettre en forme (en forme de quoi, ha ha ha)
  • meilleure assiduité à l'écriture (autre que ma liste d'épicerie)
  • être moins idiot.
Gros programme. À +

samedi 31 décembre 2011

Bilan 2011

Reprenant la formule souple et concise de Geneviève, je vous présente donc les faits saillants de mon année 2011.

Ainsi va la vie

La mort de mon père
Un état dépressif qui s'est étiré toute l'année
Un blogue laissé presque à l'abandon
Les trois moins bons livres que j'ai lus sont québécois (on s'en reparle)
Une montagne de livres à lire en expansion exponentielle
La perte de trois chats et un cheval

Yop la vie

Pénitence dans Alibis, commentaires peu nombreux mais sympathiques
Un fabuleux spectacle : Cavalia 2
Une montagne de livres à lire en expansion contrôlée
Je sors régulièrement de mon antre pour des événements mondains
La redécouverte de la bande dessinée (on s'en reparle)
Deux des meilleurs livres lus sont québécois (on s'en reparle)

Voilà, voilà, ça résume assez bien mon année.

Je crois que je n'ai pas terminé une seule nouvelle cette année. Quelques faux départs, de la révision, puis de l'eau de boudin au bout du compte. Je suis un anti-Midas : tous les textes que j'ai touchés cette année se sont transformés en caca. J'espère que ça ira mieux en 2012.

Là-dessus, à demain pour les vœux et les résolutions.

vendredi 16 décembre 2011

Un après-midi au musée

Le mardi  13 décembre en fin d'après-midi, un intrépide trio d'aventuriers a entrepris l'exploration du mystérieux monde de la finance historique en compagnie de Luc, un guide du cru.

Créé en 1817, la banque de Montréal a été la première banque au Canada. Nous avons fait la visite du micro-musée situé au 129 Notre-Dame Ouest, ouvert à tous et gratuit, plutôt craquant ce petit musée, comme quoi y a pas que son plancher qui le soit (craquant, vous comprendrez sur les lieux).

Grâce à notre guide, qui est archiviste à la BMO, nous avons eu accès à quelques salles généralement réservées aux VIP (ce que nous n 'étions visiblement pas), dont l'antique salle du conseil d'administration, un coffre-fort à deux étages et une des voutes désormais consacrée aux archives.

Une visite de deux heures et demie, montre en main. Merci à mes camarades d'exploration, Geneviève Blouin et Jonathan Reynolds, un très gros merci à Luc Dagenais, un guide disert, passionné, passionnant, allumé, qui nous a même montré quelques moves de disco qui ont dû briser bien des cœurs dans sa jeunesse pas si lointaine.

On a tellement aimé notre visite que le groupe compte bien remettre ça et visiter d'autres expos ou musées en élargissant le nombre d'explorateurs.

À suivre..


Spectaculaire horloge appartenant à l'origine à la banque Molson et rapatriée par la banque de Montréal lors du rachat de la première par la seconde

Auteur passé date sur le non moins antique trône du pdg d'où il lançait :
Off with his head !

Faste et somptueuse, la salle des pas perdus vue de la mezzanine

L'ancienne salle de réunion du conseil d'administration de la banque : boiseries dans lesquelles on peut se mirer, cachet victorien en diable, style club privé british, on imagine de ventripotents messieurs satisfaits d'eux-mêmes, fumant de gros cigares et sirotant du porto...

La plus haute distinction civile du pays remise pour services rendus à une éminence de la banque après la seconde Guerre; ce qui est fascinant c'est qu'elle est enchâssé dans un petit bloc de la parqueterie du bunker d'Adolf Hitler (il y aurait là une histoire très intéressante à écrire)

Document original de la première cession du terrain sur lequel la banque va finir par s'implanter vers 1800, daté de 1648 et signé par Paul de Chomedey, sieur de Maisonneuve. C'est un coup d'histoire en pleine face, ça.


Sur leur départ, les aventuriers Jonathan Reynolds et Geneviève Blouin entourent le guide indigène Luc Dagenais.

mercredi 23 novembre 2011

Mon quinze minutes !

Samedi le 19 novembre, au SLM, de 20h à 21h, c'était mon quinze minutes. En effet, en compagnie de Geviève Blouin et Sébastien Aubry, j'ai signé des autographes au stand Àlire à la plus grande joie d'une foule en liesse transportée par mon charisme et mon sens de la répartie ! Ah, les fans ! Ah, les groupies ! Ah, les paparazzis !

Nerveux, moi ?

J'ai surtout parlé avec Daniel Sernine, Ariane Gélinas, Michèle Laframboise, Isabelle Lauzon et Luc Dagenais et j'ai bafouillé un mot sur trois. Dieu du ciel que ça fait dur un ermite. D'un autre côté, j'ai quand même initié la conversation avec Josée Lepire, je me suis surpris moi même. Fichtre.

Les tomates

Au moins quatre personnes m'ont fait remarquer qu'elles n'avaient pas amené de tomates. Je ne sais pas jusqu'à quel point cet oubli de leur part était volontaire, ou si elles n'exprimaient pas du regret en me le rappelant...

À cinq j'arrête de compter

Je m'étais dit qu'après la cinquième dédicace, j'arrêterais de les compter. Finalement, pas besoin. J'en ai signé six au total. Excellent !

De quelques mégavedettes entrevues

Denis Vaugeois (très vieux), Éric-Emmanuel Schmitt (très gros), Stéphane Dompierre (très petit), Michèle Richard (très bling bling), Dany Leferrière (très occupé)...

Mes achats

Un SLM sous le signe de la raison ? C'est relatif dans la mesure où mes achats m'ont tout de même couté presque 100 $. Juste les miens, pas ceux de Benjamin ou de Suzanne... Pour moi :
  • Treize nouvelles vaudou, de Gary Victor
  • La fraude, d'Éric McComber
  • Delizia ! une histoire culinaire de l'Italie, de John  Dickie
  • L'incroyable histoire de la sauce soya, une BD de Fumio Obata
  • Le Grand jeu, 1. Ultima Thulé, une BD de Pécau, Pilipovic et Thorn

Photos, photos
Fixant à distance l'objectif, Isabelle Lauzon, Ariane Gélinas Julie Martel, Daniel Sernine et, cachée par Daniel, Alice Leblanc
Josée Lepire, très sérieuse, avec, à l'arrière, une foule attirée par le vin gratis ;-)
Derrière les 100 000 watts de Sébastien Aubry, Yves Meynard démontre sa figure de yoga préférée                         
On pourrait croire que je prenais en photo Dominic Bellavance et Michel Lévesque, mais non, c'est la belle fille au centre que je... oupse, aïe, chérie, c't'une jôôôke...
L'énigmatique Pascale Raud, approvisionnant les auteurs en Alibis et Solaris à signer...

L''oreille et les cheveux d'une auteure avantageusement connu pour son amour du Japon

 Martine Latulipe et Luc Dagenais, l'épaule et les cheveux autrement disposés de l'auteure précédente

Michèle Laframboise ne pouvait cacher sa joie, que dis-je, son extase, d'avoir reçu une dédicace d'un certain ermite...

    mardi 22 novembre 2011

    L'analyse du match

    Le hockey s'apprécie 100 mieux à l'aréna qu'à la télévision; c'est là qu'on voit à quel point c'est un sport rapide, gracieux et aléatoire.

    Le toc toc de la poque sur les palettes, divin !

    Surprise ! Les billets qu'on nous a refilés incluaient aussi l'accès gratuit aux restaurants de l'étage. On a donc pu manger chacun un hot-dog du Temple (ils portent bien leur nom, ils sont durs comme la pierre).

    Surpris ! Le gars sur lequel j'ai échappé le jus d'orange de Benjamin et ma bouteille d'eau. Il a pris ça avec philosophie ! Heureusement ! Il a refusé quand je lui proposé de payer pour le nettoyage de sa veste et de son pantalon ! (J'écoule un surplus de points d'exclamation !)

    On dira ce qu'on voudra mais Chara, quel joueur : un mélange de Bobby Orr et de boeuf musqué (une seule de ces affirmations est vraie)...

    Thomas est vraiment un très bon gardien.

    À deux reprises on a pu voir à quel point Gomez a déjà été un joueur formidable. Le reste du temps, on a eu droit au Gomez ordinaire...

    Des partisans, ni de Boston ni de Montréal, mais surtout de la grosse broue qui lève les inhibitions se sont cognés à qui mieux mieux un peu avant la fin du match. Parmi eux, il y avait un pauvre minable tout fier d'exhiber ses tatous qui lui donnaient, semble-t-il, le courage, comme Samson ses cheveux, de tapocher son voisin -- preuve vivante que le facteur moron [m] est équivalent à la surface occupée par les tatouages sur l'épiderme [e] multipliée par la consommation de bière [c] au carré, selon la célèbre équation m=ec2 d'Albert Heinneken. Comment expliquer pareille bêtise à un enfant de six ans ?

    Nonobstant le précédent incident (qui l'a simplement intrigué), Benjamin a adoré son expérience, le jeu, les lumières, le bruit, le « ballon » (dixit lui-même pour la rondelle), le Centre Bell, et même l'interminable attente -- 40 minutes complètement immobilisé -- pour sortir du parking souterrain. Tout ça très agréable.

    En passant 26 $ pour stationner là, c'est de l'escroquerie pure et simple ! Si on nous collectait, masqué, un revolver à la main, ce serait plus approprié.

    Je croyais que Benjamin trépignait sur son siège à cause du match. Ah-ha, pas à ce moment-là ! Avec moins de six minutes à faire à la première période, je l'ai amené aux toilettes. Nous sommes revenus avec quatre minutes à jouer. Du coup, on a raté le seul but du match :-(

    Je porte malchance aux Canadiens. Le seul autre match auquel j'ai assisté, c'était en 1972. Une grosse année avec dix défaites seulement dont à peine quatre au Forum. Le 18 novembre j'étais dans les estrades pour voir les Black Hawks gagner 5-3. Yvan Cournoyer avait marqué son 250e en carrière. C'est la vie !

    lundi 21 novembre 2011

    À soir cherchez-nous pas

    Moi et Benjamin on s'en va au Centre Bell voir les Bruins. Ah-ha ! Father & son bonding !

    En plus, on va manger un hot-dog du Temple, un seul, j'ai pas le budget pour deux !

    Go Habs Go

    vendredi 18 novembre 2011

    Je suis le Scott Gomez des commentateurs de livre


    Samedi je serai en signature au stand des éditions Àlire de 20 h à 21 h en compagnie de Sébastien Aubry et Geneviève Blouin. Auparavant je vagabonderai dans les allées du Salon avec Suzanne et Benjamin, et j'en profiterai peut-être pour augmenter ma déjà colossale pile de livres à lire.

    Comme je sors très peu, ce sera le temps pour vous de venir me faire savoir ce que vous pensez vraiment du commentaire que j'ai fait de votre oeuvre. Ben bon pour moi. Amenez vos tomates flétries, je ne me défendrai pas. 

    Par contre, assurez-vous de bien viser parce que Sébastien est un costaud et Geneviève une adepte des arts martiaux

    D'autre part, si vous me lancez des tomates farcies au basmati et gorgonzola, alors là, je me ferai un plaisir de les attraper et de les manger sur place !

    lundi 3 octobre 2011

    Ça a l'air que c'est vrai

    Bon, je suis sur la couverture du prochain Alibis. Il n'y a plus de recul possible. Vous voyez d'ici le line-up, vous autres : Gélinas, Durand, Pelletier, Houde, Spehner...


    Ceci menant à cela, il semble que je serai au SLM pour signer des copies samedi 19 novembre, vers 19 ou 20 heures. Je shake déjà comme une feuille.

    samedi 10 septembre 2011

    De tout et de rien, en attendant...

    Raison du silence : la même que pour toutes mes périodes de silence habituelles. Mon 11-Septembre personnel (1), ma dépression à répétitions, que le Paxil contient de moins en moins bien. Mais c'est une chose qui devrait se régler entre mon médecin et moi.

    Quelques modifications à venir au blogue. Ne reculant devant aucune humiliation potentielle, je vais faire des commentaires musicaux. Ah-ha. Ça risque d'être pathétique, puisque je ne connais à peu près rien là-dedans. Ça sera pour partager le plaisir pris à certains trucs.

    C'est mer d'huile côté écriture. Dans les dernières semaines, deux idées se sont pointées timidement le museau dans ma cervelle (titres de travail : Le Prisonnier cathare et l'Enfant courbé). Le projet de nouvelle à quatre mains avec Pierre Charron avance, de mon bord, à très petits pas. Aussi, j'ai repris À Prokhorovka, avec la 331e section antichar, parce qu'après un an dans l'antre de mon ordi, il est temps de lui faire prendre l'air. À la relecture, c'est moins pire que le souvenir que j'en gardais.

    Tiens, parlant écriture. Mathilde Malouin est refusée chez Boomerang et chez Z'ailées. Ma nouvelle chez Brins a subi le même sort. Ça n'a rien à voir avec mon état puisque c'est arrivé après coup. Je devrais peut-être me recycler dans la betterave.

    Côté lecture, c'est mitigé. Dernièrement j'ai lu Hanaken de Geneviève Blouin, plutôt bon, Roman-réalité de Dominic Bellavance, plutôt mauvais, La plume japonaise de Michèle Laframboise, j'ai aimé, La réparation de Katia Gagnon, j'ai détesté, Je voudrais qu'on m'efface d'Anaïs Barbeau-Lavalette, un choc, The Baby Jesus Butt Plug de Carlton Mellick III, je ne suis pas sûr, Solaris 179, du très bon et du très mauvais à la fois, Le chat du rabbin de Joann Sfar, superbe premier tome, plutôt ordinaire par après... Il y aura des commentaires là-dessus dès que je m'y remettrai - ce qui est tautologique, je crois.

    Par ailleurs, Benjamin a raté sa première semaine d'école à cause d'un virus. Il a passé la semaine à la maison avec moi. On s'est bien amusé malgré tout.

    Là je prends du all-bran virtuel pour redevenir régulier.



    (1) Le taux de mortalité est plus faible, mais la chute est spectaculaire, je vous en passe un papier, parlez-en à vos amis dépressifs.


    mercredi 17 août 2011

    Envieux, moi ?

    Pour la parution de son roman, les collègues de Geneviève Blouin lui ont offert un magnifique stylo en bambou, trouvaille géniale puisque son roman se passe au Japon.

    Me consumant littéralement d'envie(1), je me suis fais un petit cadeau moi-même. Pour la parution prochaine de Pénitence dans la revue Alibis, je me suis offert un très joli stylo en bois d'olivier de Bethléem, un bois aux veines fortes et apparentes.

    La la lalère !




    (1) Ça ajoute à mon caractère, hein ?

    mercredi 27 juillet 2011

    Oui, on peut / Yes, we can

    C'est officiel, on peut maintenant inviter Sylvie et Richard au même party ! Yes.

    jeudi 24 mars 2011

    Une pléthore de bassesses

    Je suis prêt à un lot stupéfiant de bassesses, pécuniaires autant que morales, pour mettre la main sur le livre suivant
    • Coeur de fer de Joël Champetier
     Communiquez avec moi, si jamais...

    mardi 15 mars 2011

    La partie aliquante

    NB À Carl, la réponse est non, pas du tout :-)

    La pression représente la partie aliquante de ma vie, celle qui ne fitte pas juste, celle qui déboîte toutes les autres. Je gère mal la pression. Quand elle se manifeste, généralement sous la forme d'échéance à respecter, j'ai tendance à baisser les bras devant l'énormité de la tâche à accomplir et à attendre que le crise passe. Ma lutte contre le stress passe par un accroissement extrême de fatigue et le besoin incongru et inopiné de sommeil. C'est ce qui se passe actuellement dans ma vie. Beaucoup de projets et beaucoup de travail, des échéances, donc je pique du nez.

    Depuis des mois je pense à soumettre un texte pour le prix Solaris, ma nouvelle sur Prokhorovka. La nouvelle est terminée, mais je ne suis pas satisfait du résultat. Polissage final. Mais je ne serai pas prêt, j'ai trop attendu, j'ai procrastiné, je me suis réfugié dans le sommeil avec pour résultat : pas de participation cette année au prix Solaris. C'est peu de chose. Cette participation était un défi que je m'étais donné, je ne suis en défaut de promesse que vis-à-vis moi-même. Plate, mais pas mortel.

    Autre texte à faire : les révisions relativement mineures – deux heures de travail maximum – sur Les ciseaux pour la revue Alibis. Incapable de m'y mettre. Le grand gouffre de la dépression se manifeste et je tombe alors de fatigue. Ça va se faire, mais pas tout de suite...

    Autre facteur de stress, je me suis engagé à produire trois commentaires de livres pour une revue, et un quatrième pour une autre. Le temps est serré, mais je vais y parvenir. La différence cette fois, c'est que ce n'est pas un défi à moi-même, mais plutôt une promesse à des gens que j'aime beaucoup et qui, indirectement, sans peut-être le savoir, ont beaucoup fait pour m'encourager.

    Il y a aussi le décès de mon père dont je suis le liquidateur testamentaire. Paperasse folle; et je suis quand même choyé car les affaires de papa sont simples et en bon ordre, mais ça m'angoisse terriblement.

    Et puis il y a les Mille mots de l'ermite dont l'échéance se pointe à un mauvais moment. Pis le blogue que je néglige.

    Ah là là, je sens que je vais aller m'étendre un peu...

    lundi 7 mars 2011

    Une tempête de m... à l'horizon ?

    Il y a d'abord Mathieu Fortin qui offre quelques bons mots à propos du blogue de votre humble serviteur. Puis Carl Rocheleau qui, ce matin, lui aussi... Tout ça, c'est louche...

    Je me rentre la tête dans les épaules, le pot s'en vient :-)

    mardi 1 mars 2011

    Entente de publication

    J'ai signé hier ma première entente de publication.

    Ce moment solennel s'est produit avec Solaris pour la critique du livre Pandémonium Cité de David Bergeron, un petit roman que je signale à votre attention parce qu'il est vraiment pas mal. C'est à paraître dans le prochain numéro de la revue.

    J'étais rose de plaisir. Imaginez donc : une entente de publication, voyez-vous ça, ça fait tellement professionnel.

    Pour récompenser mon effort, la direction de Solaris va m'envoyer un chèque de 9, 56 $. C'est pharaonique : je réserve illico mon billet pour La Guadeloupe... :-)

    Maintenant si je peux finir par faire les corrections demandées par Alibis à ma nouvelle Les Ciseaux, je pourrais signer une deuxième entente en 2011 avec l'Empire Àlire, ou le Consortium Pettigrew, c'est comme on veut  ;-)

    Richard : simili-quasi-ersatz-presque auteur (au moins dans sa tête).

    dimanche 13 février 2011

    Tel père, tel fils

    Ma gastro est terminée, c'est maintenant Benjamin qui l'a chopée. La nuit s'annonce longue, pour lui comme pour nous.

    Je ne sais pas si je dois m'en réjouir, mais Benjamin a le même problème que son  paternel à bien viser la lucarne après une course de cinq mètres, les culottes aux chevilles, si on voit ce que je veux dire.

    Misère de misère.

    vendredi 11 février 2011

    Évacuation massive

    Je n'entrerai pas dans les détails mais j'ai une gastro canon, c'est la raison principale de mon relatif silence. Dès que ça passe, je reviens.

    Un conseil, quand on a une gastro, je recommande de ne pas péter, ça salit.

    vendredi 12 novembre 2010

    Tout sur rien, un genre de suite

    L'internet est le lieu de tous les débordements. On réagit promptement, on peut écrire les pires sottises et on se croit immunisé... C'est comme conduire une bagnole finalement. Cette semaine, il y a eu cet animateur de radio qui a twitté des propos dignes de l'âge des tavernes sur Cœur de pirate, et aussi Édouard Bond qui a écrit une chronique pour laquelle il s'est excusé profusément.

    Puis il y a moi, qui, au bout du compte, vaut pas plus cher. Dont les deux neurones ont pété une coche ce matin. Mes excuses à Philippe-Aubert. Si dorénavant il m'évite, je ne pourrai lui donner tort.

    Tout sur rien

    1
    Pour les prochaines semaines, le blogue va être l'objet d'une invasion de commentaires. Le backlog est considérable. Et la part d'énergie que me demande l'écriture de fiction me laisse complètement inerte. Comme si on me déploguait après la séance d’écriture.


    2
    Benjamin à la maternelle. Après un dur premier mois d'adaptation, les chose s'améliorent de jour en jour. Il parle plus spontanément des activités de la journée. Même que maintenant fiston veut devenir professeur quand il sera grand, comme madame Mélissa, pas comme madame Sylvie qui parle tout le temps, dit-il. Faut comprendre que madame Sylvie est l'institutrice et que madame Mélissa est l'éducatrice-animatrice, celle qui fait les jeux et va à la piscine... De ce point de vue, tout va super bien.


    Depuis le depuis de l'été, nous voyons à chaque semaine une orthophoniste pour corriger certains défauts d'élocution (s, z, ch, j). Il porte aussi un cache-oeil trois heures par jour, ce qui ne le comble pas de bonheur, on comprendra, mais il s'adapte tant bien que mal et son amblyopie s'améliore peu à peu.


     Benjamin, le garçon au bicorne, au party d'Halloween de la maternelle.


    3
    Sur le front de l'écriture : un tour d'horizon. Primo, au début du mois je me suis inscrit pour le Nanowrimo sur un coup de tête, emporté par l'enthousiasme des autres. Erreur. Comme ce n'est pas fait pour moi, même si j'avais mis la barre assez basse à 20-25000 pour un court roman que j'ai en tête depuis longtemps, j'ai abandonné. Je vais me contenter d'écrire des nouvelles, parce que c'est ce format qui me convient pour le moment.


    La nouvelle Les retenues s'appelle maintenant Les ciseaux, et j'ai décidé de la soumettre à Alibis. La moustache a un nouveau titre, Le colis d'Allemagne, et elle va être proposée à XYZ, et aussi chez Brins d'éternité bien que la veine fantastique soit si ténue et évanescente que ses chances d'être acceptées sont minuscules, mais j'aime bien BÉ.


    En ce moment je planche sur une nouvelle littéraire au style fichtrement élégiaque intitulée Le tour de la terre. Après il va y avoir une courte nouvelle noire, Un souper avec maman, et ma participation au prix Solaris 2011, Treblinka Dancing.

    Pat m'encourage aussi à écrire la suite (plus ou moins planifiée) de Maternité noire (prix Solaris 1991), Sémuciréré : en attente, pis de la soumettre au prix Solaris. Si elle gagnait, ce serait une première (détrompez moi quelqu'un) dans l'histoire de ce prix qu'une nouvelle et sa suite soient lauréates. On peut rêver, c'est gratuit. Sur l'horizon 2012, là.


    4
    Mise-à-jour : Je retire le texte du point 4 parce que j'ai été trop rapide sur la gâchette. Mes excuses à la personne concernée.


    5
    Movember : Ça c'est ma contribution à cette patente-là. Et celle de Benjamin. On peut voir aussi ce qui arrive quand Suzanne ne s'épile pas.









    6
    Là-dessus, à +